Lors des législatives de l’été 2024, plusieurs candidats avaient été épinglés dans les médias pour des sorties racistes, homophobes et antisémites. Le RN avait promis de mieux sélectionner ses futurs candidats
L'essentiel
Il y a un an, le Rassemblement national échouait au second tour des législatives anticipées, provoquées par la dissolution d’Emmanuel Macron.
Le parti de Jordan Bardella avait pâti de la campagne d’entre-deux tours, où plusieurs candidats RN avaient été épinglés pour leur amateurisme ou des saillies racistes ou homophobes.
Un an plus tard, le RN assure avoir renforcé les contrôles sur le choix de ses futurs candidats. Mais de nouvelles polémiques ont touché d’actuels élus du mouvement.
«Cette fois, nous sommes prêts ! » Il y a un an, le Rassemblement national remportait haut la main le premier tour des législatives anticipées, provoquées par la dissolution surprise d’Emmanuel Macron. En tête dans plus d’une circonscription sur deux, le parti de Jordan Bardella et ses alliés pensaient alors obtenir la majorité au second tour, le 7 juillet 2024. C’était sans compter le « front républicain », érigé dans l’entre-deux tours, qui avait fracassé leurs espoirs d’entrer à Matignon. Le parti à la flamme avait également pâti de la campagne, où plusieurs candidats RN avaient été pointés pour leur amateurisme ou des saillies racistes ou homophobes. Une faillite du fameux « plan Matignon », pourtant vanté dans les médias comme étape ultime de la « dédiabolisation ». De quoi nourrir les éternelles critiques sur l’impréparation de Marine Le Pen et ses troupes pour diriger le pays.

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